La position commune du 9 avril 2008 sur la représentativité, le développement du dialogue social et le financement du syndicalisme n’est pas passé inaperçue.
Elle invite de toute façon au débat militant.
Chronique Ouvrière ouvre ses colonnes aux contributions permettant de nourrir la réflexion sur la portée de ce texte novateur.
Il s’agit de l’argent que les patrons ne versent plus aux organismes sociaux (maladie, maternité, invalidité, vieillesse, décès, accidents du travail et allocations familiales) depuis 1998 (1ère loi AUBRY).